Merci à Ben pour l’initiative et l’investissement sans lequel rien n’aurait été possible.

J+1

Le réveil est difficile. Nous avons rdv à 14h pour laver les bateaux et les préparer à retourner sur les eaux du plan d’eau de Plobsheim

Une épopée intense qui s’est déroulée dans la bonne humeur et sans accroc.

Vivement l’an prochain avec plus de vent et moins d’éclairs !

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Jour J

toute l’équipe est levée de bonne heure, petit dèj, tchek du voilier, réduction du poids embarqué, matériel de sécurité, etc.

Nous partons pour 30h de navigation sur un Léman plat comme Plobsheim en août 🙂

Le comité de course réduit la durée de la régate : la ligne fermera à 14h au lieu de 17h car de forts orages menacent en milieu d’après-midi.

A 21h nous prenons la sage décision de rebrousser chemin. Nous signalons l’abandon de notre flotte. Le retour se fait à la voile et au moteur au gré des risées que nous rencontrons.

Vers 4h une belle brise permet au deux voiliers qui étaient allez le plus loin de rentrer à la voile. PHILAE s’offre le lux de franchir symboliquement la ligne d’arrivée après 18h de nav.

Dès le bateau amarré, on nous offre une soupe bien consistante puis nous nous reposons jusqu’à 8h. Sortir les bateaux, démâter, ranger tout le bardas avant l’orage ; mission accomplie, de justesse !

 

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J-1

Une partie de la troupe est arrivée à la nuit tombante. Après une nuit à dormir qui dans le bateau, qui dans la voiture, le petit déjeuner organisé par JM est un régal.

La matinée est consacrée à la préparation de la flotte. Maître mot : l’entraide ! Dans l’après-midi nous partons à la découverte du plan d’eau, enfin, à la découverte du secteur où sera la ligne de départ. Pas de vent, baignade.

Retour pour le briefing de 18h.

Soirée paëlla ambiancée par la team alsacien

 

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J-2

Tracter un FIRST 210, c’est autre chose que de tracter un Europe ou un Laser ! Surtout lorsqu’on arrive dans le trafic de Genève à 17h. Mais Pierre s’en est sorti à merveille. Félicitations !

A peine arrivé, il faut mettre à l’eau et mâter. Heureusement, en ce jeudi , il n’y a pas foule sous la grue. Et le personnel de la capitainerie comme les bénévoles sont très sympa.

 

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J-3

les 3 bateaux sont prêts pour le départ

 

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PHILAE revient de l’esthéticienne

 

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J-10

PHILAE part se faire une beauté

 

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J-15

premiers bord avec le FIRST 210

 

 

 

 

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Le drapeau du GAZELEC Voile flottera bientôt sur les eaux du Léman.

Un équipage de la section voile participera les 14 et 15 juin prochain à la plus grande régate du monde, en bassin fermé (cf Voiles et Voiliers Ouest-France)

Un ami met un de ses bateaux à la disposition d’un équipage mixte de la section voile du GAZELEC.

L’histoire commence début mai lorsque Benjamin propose à Claude de lui prêter un bateau si elle arrive à constituer un équipage pour le Bol d’Or du Léman. Très vite elle trouve deux équipiers qui acceptent sans hésitation, Pierre et Christophe. Un 4e membre de la section voile, Jonathan, participe sur le bateau skippé par Benjamin. Nous complétons l’équipage de Philae avec un membre d’un club voisin.

Benjamin engage 3 bateaux dans cette régate. 1 jod 24 et 2 first 210. Le premier est skippé par lui même, le deuxième par son père et le troisième par Claude et son équipage AOGVoile.

Nous prendrons le départ au milieu de 400 autres voiliers samedi 14 juin à 10h en espérant avoir bouclé le tour du lac le lendemain avant midi. Cette régate est une institution vieille de 86 ans sur le Léman. Des voiliers de toutes tailles participent pour la gagne ou pour le fun. Les meilleurs finiront en moins de 10h mais pour nous, parcourir les 66 miles nautiques (125km) de Genève à Le Bouveret et retour, prendra plus de 24h.

Notre bateau est un Bénéteau first 210 de 6,20m. Plus petit que le Surprise du club (7,65m), il est plus facilement transportable et équipé pour la navigation de nuit. Il n’y a ni cuisine, ni sanitaires, mais des batteries alimentées pas un panneau solaire et un espace de couchage convenable ; si on se rappelle avoir campé dans des canadiennes ou des tentes igloo.

Nous avons pu l’essayer ce premier weekend de juin. Il a besoin de quelques ajustements avant le départ mais il sera prêt à temps. D’abord il faut le convoyer jusqu’à Genève, le mettre à l’eau et en état de naviguer. C’est le programme de jeudi. Vendredi c’est entraînement.